Article de Jean-Pierre Gaillard, metteur en scène de la compagnie Imaginaire Théâtre.
Un immense MERCI !
'Dans ce conte à tiroirs que la tradition
bretonne affectionne, Bleunwenn, la fille du roi, se meurt de langueur...
Un mystérieux danseur a dérobé la clé du bonheur. Peut-être le même qui
avait déjà sévi chez Dahud, à Ys, devenue la Maudite... Qui donc lui
redonnera la vie en réveillant ses rêves ? Pendant une heure, le conte
se déploie, on rebondit d'une histoire à l'autre, on rencontre une vache
miraculeuse, puis un arbre aux fruits d'or, un géant... Le tout
entrecoupé de chants traditionnels ou composés pour l'occasion. Les deux
voix de Marie et d'Aurélien se marient parfaitement, tandis que la
fable est rythmée par les instruments d'Aurélien Danielo : guitare,
bouzouki, banjo à douze cordes, harmonica, qui illustrent le récit ou
viennent en contrepoint.'
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